Sam Mewis trouvera-t-il un moyen de continuer à commencer?

"Je pensais qu'il était essentiel de jouer contre l'Espagne", a déclaré l'entraîneure américaine Jill Ellis dimanche. "Nous n'avions pas d'histoire avec eux, de connaître une équipe, de monter sur le terrain avec eux ... J'ai tout fait pour obtenir ce match, car je pense que c'était important pour nous."

Du point de vue des nouvelles, Real Betis Ellis a déclaré que les vedettes américaines Alex Morgan et Julie Ertz étaient à la fois "bonnes" et disponibles pour le match contre l'Espagne après que le premier ait été remplacé à la mi-temps par un coup frappé et que la dernière ait tenu le coup par précaution avec une blessure à la hanche. . La question reste que si tous les joueurs américains sont en bonne santé, qui commencera au milieu du terrain? Sam Mewis trouvera-t-il un moyen de continuer à commencer? Et si oui, comment le reste de la gamme lui céderait-il la place? Une possibilité pourrait impliquer que Ertz revienne dans la défense centrale et laisse de la place à Lindsey Horan, Rose Lavelle et Mewis au milieu du terrain. Mais à ce stade, qui sait?

Une vague de chaleur pénètre en France et on s’attend à ce que la température atteigne près de 90 degrés au coup d’envoi de lundi. Un autre problème est que l’Espagne aura eu six jours de repos complet entre les matches et que les États-Unis auront eu trois jours en fonction de la construction du calendrier, ce à quoi Ellis a déclaré: «Je ne construisais pas de tournoi. Maillot Palerme ne faisait pas très attention aux tenants et aux aboutissants de sa structure. Oui, c’est parfois un gros écart, mais… lorsque vous entrez dans un tournoi en tant que l’une des dernières équipes à jouer, il y aura certaines différences entre les fenêtres. C'est ce que c'est."

Comme nous l’avons vu à plusieurs reprises au cours de ce tournoi, les Espagnols ont suscité l’admiration de leurs joueurs envers l’équipe américaine. Comme l’a déclaré dimanche l’Espagnole Marta Torrejón: «Le football en Amérique est un exemple pour nous tous dans tous les sens du terme. En termes de couverture médiatique, ils obtiennent en termes de… soutien financier dont ils disposent. Et ils ont aussi de grandes stars féminines et des enfants et des petites filles aux États-Unis peuvent les admirer.

«Je pense que c’est un modèle pour nous tous», a poursuivi Torrejón. «Si nous avions des stars comme aux États-Unis, Maillot Parme si les gens pouvaient nous regarder, pour en arriver là, nous savions que nous avions un long chemin à parcourir. Mais nous sommes heureux de relever ce défi et d’essayer de le suivre. »

On sent dans le football féminin que plusieurs pays traditionnels du football masculin - l'Espagne, les Pays-Bas, l'Italie et l'Angleterre - commencent enfin à investir du côté féminin et que les États-Unis seront soumis à une pression extrême dans les années à venir avec eux.